Ch'will 2003
Après une ballade dans les montagnes bretonnes avec escale à la taverne de Plouyé, et une rencontre avec les éoliennes du Huelgoat, nous avons installé les tavernes en nylon pour une nuit encore une fois trop courte…… (Cette année il faisait beau pour une fois, tant pis pour ceux qui ne sont pas viendre !
Page du supertroll's BOURZY qui n'y était lui... aussi..
Le Fooz et moi nous sommes installés à la buvette pour l’apéro. Mais le kir était un peu fadouille après la gnole de l’inscription. Du coup il nous a fallut plus d’un godet avant de sentir le goût de cassis et puis encore quelques uns pour profiter du goût du blanc. Après c’était déjà mieux, gustativement parlant bien sur!
Il arrive un moment ou il faut bien caler le fût (l’estomac quoi!). Ben à table on s’est fait un concours de doigts pour savoir celui qui avait le plus long, Fooz a été déclassé…. M’enfin on a bien mangé et bien rigolé, fout dire que le pinard était bon et qu’on y a traîné un peu.
Une p’tiote chanson extraite d’un album composé par le Fooz et le Bourzy (moi-même), la veille dans le pub de St Hervé à l’attention de deux absents (Eric et Nadège). Une bonne tranche de conneries en musique sur fond de Jackie ta 4L pour ceusse qui connaissent. On a ensuite enchaîné sur une variante sur les c'hwil qu’on nous a d’ailleurs confisqué les paroles le dimanche….
La soirée s’est finie dans la bière comme d’habitude, avec du picon délicatement apporté par Seb (le Troll du 29) et Aurélie. Pour le reste c’est comme d’habitude, à fond Jean le Floc’h! Tout le monde connaît…………
Ben le matin nickel. Sauf pour Hélène. Mais on l’avait prévenu, le vin chaud/gnolle, c’est un anti-café du matin et le cerveau reste longtemps en ébullition. Même l’aspirine n’en vient pas à bout.
De toutes façons, personne n’a fait la balade à cause d’une malheureuse averse au mauvais moment. Comme çà on était à l’heure pour l’apéro et la remise des prix. On a rangé tranquillement le fourbi dans les sides avant le tour d’honneur. Ben il y en a à Soudan qu’on peur d’avoir soif sur la route du retour. Les C’hwil ont offert gracieusement une gourde de secours au cas où.